Culture

On a croisé Olympe Chabert au Rose Festival !

Publié le 12 septembre 2024

Programmée une fois de plus au Rose Festival qui a eu lieu fin août dernier, Joly Môme a croisé la très attendue Olympe Chabert pour une interview, juste après son passage sur scène. Après avoir enflammée le public, c'est avec bienveillance que l'artiste nous a accueillies dans sa loge. Retour sur un échange des plus chaleureux. 

 

Bonjour Olympe ! Deuxième fois consécutive au Rose Festival, dans quel état d’esprit étais-tu avant de monter sur scène ? 

J’étais concentrée, stressée aussi parce qu’on a rajouté beaucoup de choses sur ce show. C’était aussi le dernier concert de l’été donc j’étais un peu dans le stress et dans le rush mais tout s’est bien passé donc je suis trop contente.


En parlant des concerts de cet été, tu en as fait pas mal en festival, est-ce que c’était chouette ? 

Oui ! De toute façon les festivals c’est toujours trop cool. J’adore le côté « dehors », « soleil ». Les gens sont détendus, c’est très agréable de jouer dans ce contexte-là. 

 

Est-ce qu’il y a un festival qui t’a marquée plus qu’un autre ? 

Pas vraiment un festival en soit mais ce qui m’a le plus marqué c’était les trois Stadium de Toulouse juste avant l’été ! Ça nous a ouvert la saison des festivals et jouer devant 30 000 personnes c’était quand même quelque chose, on s’en souvient. 

 

On s’est vue l’année dernière pour une interview également, qu’est-ce qui a changé en un an pour toi ? 

Plein de choses ! Mais surtout la première partie de l’album qui sort le 27 septembre, « Haut les coeurs », qui nous ouvre la voix sur la tournée. On va pouvoir faire des shows plus longs, avec des gens qui connaissent le projet, donc c’est un peu le début d’une nouvelle ère.

 


En parlant de l’album justement, tu peux nous en dire un peu plus ? 

C’est un peu un album de changement, d’évolution et de résilience. Guérir, réfléchir sur ce qui se passe et ce qui a de la valeur pour nous, pourquoi des choses comme l’amour, la jeunesse et l’âge adulte sont des sujets qui peuvent faire mal et nous poser tout un tas de questions qui nous empêchent d’avancer. « Haut les coeurs », c’est une expression que j’aime énormément. Il faut toujours garder courage et ne pas perdre espoir, tout en faisant confiance au temps.

 


L’année dernière, tu nous confiais que « Roméo & Juliette » était la chanson que tu préférais faire sur scène, est-ce que c’est toujours le cas ? 

Eh bien je pense que oui. C’est une de celles sur laquelle je me sens le plus à l’aise mais aussi une de celles que les gens connaissent le mieux. Elle n’a pas eu un impact médiatique très fort alors je suis contente qu’elle ait un impact scénique fort à chaque fois et de la faire vivre sur scène. 

 


Tu as récemment sorti ton très attendu single « Bad Boy malheureux », est-ce que tu t’attendais à tant de retombée ?

Oui, j’espérais que les gens la reçoivent positivement mais j’espérais surtout qu’ils ne soient pas déçus car quand une chanson est très attendue, la déception peut être grande. Personnellement, je suis très contente parce qu’on l’a sorti au bon moment tant pour le public que pour moi. 

 

Et voici le clip de « Bad Boy malheureux », sorti en ce début de semaine, avec Samy Seghir si vous regardez bien ! Bon visionnage :)


Est-ce que tu as un rituel avant de monter sur scène ? 

Pas vraiment parce que j’ai l’impression que c’est différent d’une scène à l’autre. Parfois on est prêt des heures avant donc on peut bien se concentrer et parfois, comme aujourd’hui, c’est un peu le rush donc il faut tout faire vite. Je dirai quand même qu’à chaque fois, on essaye de se prendre dans les bras avec mes deux musiciens et de se prendre au moins cinq minutes où on se parle et où on essaye de se connecter à l’énergie du public. 

 


Et dernière question, est-ce que tu as une récente découverte musicale que tu aimerais partager ? 

Oui ! August James. Il est trop mimi et chante super bien. Il a pas énormément d’écoutes mais sa musique est assez calme, sa voix légère est mise en avant et personnellement ça me fait penser à la forêt, je ne sais pas pourquoi. 

Par Chloé Barlaud

Dernière modification le 13/09/2024 à 16h42

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