Ce 29 septembre est sorti le nouvel album de Guillaume Poncelet, Durango. Et comme à chaque fois, il nous a conquis dès la troisième note (qu’en est-il des deux premières ?).
Joli titre, n’est-ce pas ? Je le dois à Victor Hugo. Comme lui, Guillaume Poncelet ne cesse d’émerveiller, de surprendre, avec ce qui lui réussi le mieux : ses mains, son ventre, son coeur. On croirait à une relation amoureuse, et c’est presque ça ! Un premier pas tumultueux dans la musique, contraint et forcé, à 6 ans, de faire sonner un violon. Puis la trompette (<3), puis le piano (<3). Ces deux derniers instruments sonnent comme le début d’une nouvelle air. À quoi bon réussir à l’école quand on a trouvé si tôt sa passion ? À quoi bon se plier aux dictats lorsque l’on peut servir la musique de part nos émotions qui émanent de notre ventre ?
Tout cela, Guillaume Poncelet l’a compris et suivis à la lettre très tôt.
Ce 29 septembre est sorti Durango, un album de piano qui nous dit tout. Sans texte, mais pas besoin. Un album qui ne ressemble à aucun autre. Alors le son embrasse l’oreille, comme lors d’une première fois, et enlace tout ce que l’on possède de fébrile. On est rassurés.
Le clip de Yaki imo (le single, oui oui, même pour un album de piano) est sorti il y a quelques jours, on vous laisse le découvrir juste ici :
Victor Hugo le disait : « La musique exprime ce qui ne peut pas être mis en mots et ce qui ne peut pas rester silencieux ». Alors merci Guillaume de nous avoir dit tant de choses.
Commentaires
Romain R.
Merci Jenna pour cet article, ça donne envie de l'écouter dès maintenant. Depuis quand le connais-tu?
3 octobre 2023 10h44
Alex. L.
Je n'ai pas d'aussi jolis mots pour décrire à quel point j'aime cet album, mais il compte particulièrement. Découvert une douce nuit, depuis il ne m'a jamais quitté. Il sera toujours attaché à ce moment précieux. 🦋
2 octobre 2023 14h14